CAMALYA, avant d’être une marque spécialisée dans la fabrication d’accessoires de mode, ce sont des engagements de valeurs et de principes forts !

Mais alors en quoi CAMALYA est-elle une marque engagée ?

Tout d’abord, le fait de consommer juste et bien est notre crédo, contrairement à certaines tendances, nous avons pour but d’éviter la mode du « fast-fashion ». Cette mode est, pour certains, un processus permettant de générer plus d’activité. Mais nous pensons que notre planète ne peut être sacrifiée pour l’augmentation déraisonnée de l’activité ; en effet cette pratique a un réel impact négatif sur celle-ci.

La surconsommation est donc totalement antagoniste à nos principes.

Ensuite, l’utilisation de fibres naturelles pour la fabrication de nos produits est là aussi quelque chose d’essentiel et de primordial pour nous.

La suppression des matières premières synthétiques nous importe au plus haut point et cela pour deux raisons essentielles :

La première est bien évidemment notre planète ; les matières synthétiques comme le polyester, le plastique ou tout autre dérivé nuisent énormément à la faune et la flore. De plus, le déversement de tonnes de déchets dans les régions reculées du monde, par des entreprises non responsables, nous indigne. Nous travaillons donc continuellement avec nos équipes pour supprimer au maximum toute substance synthétique.

La deuxième raison est évidemment la qualité : notre moteur. Nous sommes convaincus que les matières naturelles permettent d’atteindre un niveau de qualité supérieur. Elles permettent la conservation des produits dans le temps et donc, au final, la satisfaction des clients sur le long terme.

Un des principes forts de CAMALYA, et qui n’est pas des moindres, est la responsabilité sociale en entreprise, c’est aussi cela qui fait de notre marque un engagement. Nous prenons en compte les enjeux environnementaux, sociaux et économiques qui nous entourent afin de maintenir une production qualitative mais aussi et avant tout, éthique.

Nous sommes intimement convaincus que sans la centaine d’hommes et des femmes qui travaillent à la fabrication des articles de la marque dans les différents pays, CAMALYA ne pourrait pas proposer à ses clients des produits d’une telle qualité. En effet la fabrication artisanale est pour nous bien plus valorisante que l’automatisation des fabrications dans le textile, et particulièrement dans les régions reculées.

Revenons quelques années auparavant, vous rappelez-vous de ce jeune couple, originaire de Madagascar, qui a fondé la société en 1989 puis la marque CAMALYA en 2006 ? (Cf. article précédent). La marque est, pour eux, la représentation de toutes ces valeurs qui leurs sont chères. Avant même la création de CAMALYA, leur intention était d’aider la population malgache d’une manière ou d’une autre.

A Madagascar, ce sont donc plusieurs dizaines de femmes, au savoir-faire incroyable, qui vont réaliser jour après jour des accessoires de mode qualitatifs et bien sûr de manière artisanale.

Ces femmes, souvent issues de régions reculées de la grande île, n’ont très malheureusement pas toujours accès à l’emploi.

Notre volonté forte est donc de les aider en toute circonstance, notamment à travers un cadre de travail stable et une rémunération supérieure aux standards locaux. Premièrement, cela leur permet de subvenir aux besoins de leur famille et, deuxièmement, cela permet à leurs enfants d’accéder à l’éducation sans avoir besoin de rechercher des moyens de subsistance. Le travail des mineurs que nous constatons, à travers certaines productions dans le monde, nous scandalise et chez CAMALYA, cela est totalement proscrit de notre politique interne.

Il y a derrière tout cela une réelle envie de la part de CAMALYA de participer à une émancipation de leurs collaboratrices et collaborateurs ; émancipation économique, sociale et intellectuelle.

L’équipe dirigeante de CAMALYA tient aussi bien à la production française de premier ordre qu’à la production malgache éthique. L’équipe étant composée de personnes nées dans l’hexagone et d’autres sur la grande île, il y a une réelle responsabilité sociale vis-à-vis de ces deux pays qui sont chers à leurs cœurs.